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Alors que 6 des 9 limites planétaires ont été franchies, l'Europe tente d'accélérer la prise en compte des enjeux environnementaux par les entreprises. La directive CSRD va dans ce sens en imposant la publication d'informations sur les performances RSE des activités économiques. Elle impose notamment aux entreprises concernées d’évaluer leur impact sur la ressource en eau, en précisant leur gestion de l’eau, depuis leur consommation jusqu’à leur capacité à traiter les eaux usées.
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Je veux être contacté par un expertLa directive européenne CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive), publiée en 2022, redéfinit pour un grand nombre d’entreprises les exigences en matière de reporting ESG (environnement, social et gouvernance) et incite désormais les organisations à aller bien au-delà des simples déclarations d’intention. Transparence, comparabilité et fiabilité deviennent les nouveaux maîtres-mots de la stratégie des entreprises en matière de développement durable.
La CSRD transforme le reporting extra-financier en un outil stratégique, intégrant les enjeux climatiques, sociaux et de gouvernance directement dans la gestion et les opérations. Elle oriente les entreprises vers des actions concrètes à mener sur les sujets les plus pressants de la transition environnementale. C’est le cas notamment de la ressource en eau, fragile et irremplaçable, qui doit être préservée à travers deux Objectifs de Développement Durable définis par le texte : Eau propre et assainissement ainsi que Vie aquatique. Alors que 60 % des rivières, ruisseaux, lacs et zones humides d’Europe ne sont pas en bonne santé, les entreprises sont des acteurs stratégiques de la transformation des usages à travers leur stratégie RSE.
L’Europe a déjà mis en place des réglementations pour préserver la ressource en eau, notamment avec la directive-cadre sur l’eau de 2000, qui vise à la préservation et à la restauration d’un bon état écologique et chimique des eaux avec une échéance en 2027. Cet objectif est transposé en France à travers les Schémas Directeurs d’Aménagement et de Gestion des Eaux (SDAGE), qui établissent les objectifs de résultats pour chaque masse d’eau.
La CSRD vient aujourd’hui compléter ces réglementations et impose aux entreprises de communiquer sur leurs performances. Elles doivent se baser pour cela sur une norme spécifique pour l’eau et les ressources marines : l’ESRS E3. Ce référentiel donne les exigences de mesures d’impacts, d’analyses de risques et d’opportunités
L’Europe a déjà mis en place des réglementations pour préserver la ressource en eau, notamment avec la directive-cadre sur l’eau de 2000, qui vise à la préservation et à la restauration d’un bon état écologique et chimique des eaux avec une échéance en 2027. Cet objectif est transposé en France à travers les Schémas Directeurs d’Aménagement et de Gestion des Eaux (SDAGE), qui établissent les objectifs de résultats pour chaque masse d’eau.
La CSRD vient aujourd’hui compléter ces réglementations et impose aux entreprises de communiquer sur leurs performances. Elles doivent se baser pour cela sur une norme spécifique pour l’eau et les ressources marines : l’ESRS E3. Ce référentiel donne les exigences de mesures d’impacts, d’analyses de risques et d’opportunités
La CSRD demande aux entreprises de détailler sur l’ensemble de leur chaîne de valeur la façon dont elles protègent la ressource en eau et comment elles adaptent leur modèle économique pour réduire leur consommation afin de contribuer sur le plan vert européen et à la durabilité de l’économie bleue.
La démarche requise par la CSRD nécessite d’évaluer toutes les incidences de l’activité de l’entreprise sur la ressource en eau, notamment les incidences positives ou négatives importantes, réelles ou potentielles. L’exercice implique d’examiner tous les actifs et toutes les activités de l’entreprise, et ce pour ses opérations propres mais aussi celles de toutes les parties prenantes de sa chaîne de valeur (impact des fournisseurs, etc.). Tout est passé en revue afin d’établir une cartographie des usages de l’eau sur tout le cycle de vie du produit, de la création des matières premières jusqu’à son utilisation finale, en passant par ses transports, sa production et sa distribution. Durant tout ce cycle, l’eau peut être utilisée comme solvant (électrolyse, homogénéisation, nettoyage…), comme matière première (boissons, aliments, médicaments…) ou encore comme fluide caloporteur (vapeur ou refroidissement).
La première étape est de réaliser un bilan approfondi afin de bien connaître toutes les facettes de son cycle de l’eau, en répondant à cette série de questions :
Ce bilan offrant une image complète permettra ensuite de mesurer précisément :
Sur la base de cette image précise des consommations réelles de l’entreprise, des plans d’action devront être définis pour améliorer leur gestion et leur consommation en eau, tant sur le plan quantitatif que qualitatif :
Sur la base de cette image précise des consommations réelles de l’entreprise, des plans d’action devront être définis pour améliorer leur gestion et leur consommation en eau, tant sur le plan quantitatif que qualitatif :
SOCOTEC accompagne ses clients à se mettre en conformité vis à vis des exigences de la CSRD et plus globalement dans l'optimisation de leur stratégie RSE.
Dans le domaine de l'eau nos experts sont à vos côtés pour évaluer au plus précis vos consommations d'eau et trouver les solutions les plus pertinentes pour améliorer durablement votre gestion de la ressource eau.
Le programme Green Trust regroupe l’ensemble des solutions proposées par SOCOTEC allant dans le sens des objectifs définis par la Taxonomie Européenne visant à atténuer les effets du changement climatique. SOCOTEC accompagne ses clients dans leurs démarches de transition écologique. La vaste palette d’expertises de nos experts leur permet d’intervenir tant dans la réduction de la pollution d’un site industriel, la réduction des impacts d’un projet sur la biodiversité, la rédaction de rapports de durabilité, que dans la mise en œuvre de solutions suivant la logique d’économie circulaire.
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